L'ARTE DELLA SCIMMIA
21 octobre Italie / Trieste
Dans le monde infini et kaléidoscopique de l'iconographie allégorique, le singe est l'une des présences les plus curieuses, amusantes et ambiguës. Autrefois considéré comme un double grotesque et diabolique de l'être humain, il a été représenté comme un voleur ou un musicien rusé, souvent avec des intentions satiriques (célèbre est la gravure dans laquelle l'éditeur de musique Andrea Antico a représenté son collègue et antagoniste Ottaviano Petrucci comme un singe avec un luth).
L'Aquilegia reprend le concept de "sonar con ogne sorta di strumenti" et, en s'inspirant des instruments dans les mains des singes représentés dans les miniatures (crembalum, luth, harpe, cistre), offre un délicieux voyage musical de la fin du Moyen-Âge à la fin de la Renaissance. Le paysage sonore, aussi dense que le feuillage d'une forêt, révèlera à quel point nos ancêtres étaient musicaux, à la fois artistiques et... biologiques.
L'Aquilegia reprend le concept de "sonar con ogne sorta di strumenti" et, en s'inspirant des instruments dans les mains des singes représentés dans les miniatures (crembalum, luth, harpe, cistre), offre un délicieux voyage musical de la fin du Moyen-Âge à la fin de la Renaissance. Le paysage sonore, aussi dense que le feuillage d'une forêt, révèlera à quel point nos ancêtres étaient musicaux, à la fois artistiques et... biologiques.
